Beaucoup de choses restent floues sur la nouvelle selon laquelle une jeune femme de Venlo a été victime d’une « piqûre d’aiguille ». La jeune femme de 19 ans s’est rendue à la police dimanche, rapportant qu’elle avait été poignardée avec une aiguille hypodermique alors qu’elle marchait, puis qu’elle était tombée malade.
La police confirme qu’il en est resté à un rapport qui fait actuellement l’objet d’une enquête. Même après l’agitation qui a éclaté dimanche, aucun nouveau rapport n’a été reçu.
Confidentialité
« Nous ne ferons aucune annonce sur l’endroit où cela aurait eu lieu, sur ce qu’il y a d’autre dans le rapport et sur la façon dont la femme va pour des raisons de confidentialité », a déclaré un porte-parole. La femme s’est également signalée au VieCuri de la ville dimanche, confirme l’hôpital. Là, ils ajoutent qu’il est resté avec un seul patient, et qu’un tel rapport ne s’y est jamais produit auparavant.
Le GGD Limburg-Noord dit ne pas être au courant de l’affaire et renvoie à la police.
Consternation
Un message Facebook de la mère du Venlose a suscité beaucoup de consternation dimanche. La mère a écrit que sa fille avait été droguée avec une aiguille alors qu’elle sortait à Venlo. La fille de 19 ans aurait été piquée dans les fesses à travers ses vêtements. Après cela, selon le rapport, elle s’est sentie étourdie et tremblante, était pâle et s’est presque évanouie. La femme s’est finalement rendue à l’hôpital et s’est rendue à la police.
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Fini avec ça
La publication Facebook d’origine n’est plus publique. « Nous avons reçu tellement de questions et de commentaires à ce sujet que nous en avons complètement terminé. Je ne veux rien dire de plus à ce sujet », déclare de Venlose. « En raison des circonstances, ma fille va bien », ajoute-t-elle lorsqu’on lui demande.
Rapports mais pas de poursuites
Les histoires selon lesquelles les jeunes femmes en particulier sont droguées via une aiguille hypodermique alors qu’elles sortent ont fait surface en Grande-Bretagne l’automne dernier. Là, selon la police, SAI plus de 1 300 rapports, mais faute de preuves, aucune poursuite n’a encore été engagée. Encore moins une condamnation. Ce printemps, il y avait aussi des rapports de France. Le compteur y est désormais à 130, mais là aussi cela n’a pas encore donné lieu à des poursuites. Ces dernières semaines, les premiers messages des Pays-Bas sont arrivés.
Rechercher
Aucune substance étrangère n’a été trouvée dans le sang de l’une de ces victimes, bien que cela ne soit pas surprenant. Les hôpitaux traitent ces patients de la même manière, quel que soit le médicament avec lequel ils ont été drogués. C’est pourquoi aucune recherche n’est effectuée. De plus, par exemple, le médicament GHB disparaît du sang après quelques heures.
Boire
Pointe d’aiguille est en quelque sorte un superlatif des rapports faisant état de drogues introduites en douce dans les boissons. Ces histoires existent depuis des années et font également l’objet d’avertissements officiels de la part, par exemple, de la Institut Trimbos† Il existe des preuves de ces questions : depuis 2008, il y a eu 51 condamnations même s’il ne s’agit pas uniquement d’incidents lors d’une sortie.
Brabant
Outre le Limbourg, le phénomène est également apparu pour la première fois dans le Brabant le week-end dernier. Six personnes auraient été piquées lors d’une fête sur la place de Kaatsheuvel Radiodiffusion Brabant† Le phénomène s’est également manifesté en Belgique ce week-end : 15 supporters du KV Mechelen sont tombés malades après un match face au Racing Genk. On dit également que le dopage à l’aiguille est impliqué ici.
Dans le cas belge, cela signifierait que l’auteur ou les auteurs potentiels soit sont entrés sur le site avec au moins 15 aiguilles remplies et y ont injecté des personnes sans être remarqués, soit que les aiguilles d’injection ont été remplies sans être vues entre-temps.
scepticisme
Cette dernière est l’une des raisons pour lesquelles les rapports sur le piquage d’aiguilles sont accueillis avec scepticisme. C’est une façon très maladroite de droguer quelqu’un. Le ghb, un médicament souvent appelé anesthésique dans la vie nocturne, est trop visqueux pour être injecté. De plus, le remplissage d’une seringue est un travail minutieux, où les bulles d’air doivent être évitées.
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