Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’État au Développement, à la Francophonie et aux Partenariats internationaux, fait l’objet de deux objections d’agression. Les manifestations supposées étaient censées être consacrées à ses obligations en tant que gynécologue. Un examen a été ouvert par le bureau d’instruction de Paris.
Selon nos données, deux objections d’agression ont été documentées contre la secrétaire d’État, Chrysoula Zacharopoulou, chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux. Les soi-disant manifestations étaient censées être consacrées à sa vocation de gynécologue.
C’est le 25 mai qu’un premier grief a été documenté. Le bureau du juge d’instruction de Paris fait savoir à Marianne qu’un examen a été ouvert deux jours après les faits, le 27 mai, pour « décider si les faits vont probablement tomber dans la mesure d’une capacité criminelle ». Les interrogatoires ont été partagés avec le détachement pour la contrainte des fautes contre les personnes (BRDP).
« EN MILIEU CLINIQUE »
D’après nos données, confirmées par le cabinet du médecin légiste de Paris, une nouvelle grogne a été documentée ce jeudi 16 juin. Une source proche du dossier ajoute que les supposées réalités se sont également produites « en milieu clinique » en 2016 sur une grande dame .
Chrysoula Zacharopoulou a rejoint l’autorité publique d’Élisabeth Borne le 20 mai. Il est placé sous la direction de la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Catherine Colonna. La secrétaire d’Etat était députée au Parlement européen depuis le 2 juillet 2019, poste qu’elle a quitté pour entrer dans la puissance publique. Elle s’est attelée à la reconnaissance de l’endométriose, notamment en présentant un rapport à ce sujet à Emmanuel Macron le 11 janvier 2022.
« Avid alcohol nerd. Infuriatingly humble entrepreneur. Social media specialist. Award-winning organizer. General Twitter lover. Beer expert. »