A 22 ans, Bilal Hassani a désormais tout d’un symbole : symbole LGBT, symbole pop, star du web. Créateur de contenu aux multiples millions de supporters réunis sur des organisations informelles, délégué de la France à l’Eurovision 2019, finaliste de l’émission Danse avec les stars sur TF1, le jeune chanteur est depuis longtemps un modèle d’opportunité et de capacité à supporter tout un âge à ce indiquer. Depuis son approche en 2017, Bilal prend position auprès des organisations et dans les médias sur la lutte contre le harcèlement et l’homophobie. Avec ses postiches, ses couplets et ses tenues qui brisent les normes d’orientation, il garantit la possibilité d’apparaître comme autre chose, le droit pour chacun de poursuivre sa vie et son mode de vie sexuel et d’orientation tel qu’il est. l’entendre. D’ailleurs, le territoire lui en est exceptionnellement reconnaissant : en 2018, il s’est illustré dans le positionnement Têtu des « 30 LGBTI+ qui font bouger la France ». Le magazine le dépeignait comme « un symbole de la jeunesse LGBTI+ française », avant de le désigner, dans son numéro de fin d’année 2021, comme le « personnage de l’année ». La journaliste de madmoiZelle Mathilde Truong a évoqué pour autant qu’il lui importe un bel exemple qu’elle aurait sauté sur l’occasion d’avoir eu plus de jeunesse. En 2019, Bilal Hassani a reçu l’Out d’or du personnage LGBTI de l’année, lors de la cérémonie annuelle coordonnée par l’Association des journalistes LGBTI.
En ce Mois de la Fierté 2022, la jeune vocaliste s’apprête à livrer un troisième recueil, créé par GrandMarnier, une grande partie du couple Yelle, véhiculé par un premier single, « Il ou Elle », actuellement fait l’objet de la plus grande attention. 1 000 000 fois. Avec ce titre qui oblige évidemment à bouger les hanches, Bilal Hassani prend la question de l’orientation nettement plus frontale qu’auparavant. Dans une interview donnée dernièrement au magazine Têtu, il la dépeint comme dépassée.
Bilal Hassani dit avoir commencé à chanter à l’âge de cinq ans, après avoir rencontré un choc proche de chez lui et de bon goût lorsqu’il a découvert le « Thriller » de Michael Jackson coupé à la télévision. C’était là, jeune au point qu’il a commencé à rêver de devenir une popstar. Il entre au Conservatoire de son quartier à six ans, pour apprendre le piano, la danse, la guitare, la satire. Tout au long de son enfance, il a coordonné de véritables petits spectacles et spectacles dans son espace pour ses peluches, sa maman, son beau-père ou le voisin de passage, avec des récréations, des sorties de scène, des changements de tenues. Dans son livre Singulier, distribué en 2019 par Plon, il déclare : « Un drap d’ombrage, un torchon ou un plaid sur la tête qui se balance vers l’arrière, tous mes jouets spongieux autour de moi sur le lit et il faut y aller ! »
A 11 ans, il compose petit à petit un plan de carrière qui devrait faire de lui une star intergalactique qui pourrait chanter dans le monde Mars. Il considérait alors comme son nom de scène Brush, « pour les cheveux que j’aurai longs, extrêmement longs. Je les ai toujours vus comme ça. tandis que sa mère, qui n’est pas encore sa superviseure, lui propose des rendez-vous d’enregistrement en studio pour commencer à enregistrer des démos. A 14 ans, Bilal Hassani intègre l’Académie Internationale de la Danse (AID), à Paris, une école de satire mélodique, avec des cours à horaires organisés.
En 2015, Bilal a participé pour la deuxième fois à l’émission télévisée pour jeunes The Voice Kids. Il est apparu pour les essais pour malvoyants en interprétant « Rise Like a Phoenix » de Conchita Wurst, qu’il a dit respecter. Il a ensuite, à ce moment-là, rejoint le groupe de Patrick Fiori, mais a malheureusement été tué lors de l’épreuve des combats, par exemple dans le quatrième des cinq épisodes.
Musique et art de vivre
C’est l’année suivante, en 2016, qu’il « entre dans l’univers génial de YouTube, cette scène de narration monstre, où chacun fait vivre les autres, où s’exhiber, dans ce monde qui est fait d’images, c’est-à-dire résider ». Il crée sa propre chaîne et commence à poster des enregistrements, tournant des histoires de sa vie et des fronts de mélodies. L’exploit est extrêmement rapide : en deux mois, il a agrégé plus de 40 000 supporters. » Chaque semaine, je « poste » des coupures de la vie en franglais, des gestes envers des individus similaires à moi. Des peurs, de mes playlists de milieu d’année, je me fais virer du collège, c’est mon frère, etc. »
Fort de ce petit exploit, il a choisi d’autoproduire son fermoir le plus mémorable, pour son titre « Wanna Be », un titre signifiant, tantôt, son fantasme de devenir une star. Il compose les textes qu’il présente sur un instrumental acheté en ligne pour 300 dollars. Il l’a mis en ligne après avoir géré toute la création tout seul : le titre s’est retrouvé numéro 1 du classement Viral 50 de Spotify.
En 2017, Bilal fait l’éloge de la célébration de son dix-huitième anniversaire et de ses 100 000 endosseurs. En 2018, sur l’arrangement d’un spectacle, il rencontre le couple Madame Monsieur : Émilie Satt et Jean-Karl Lucas, délégués de la France à l’Eurovision 2018 avec la mélodie « Mercy ». Ils lui font connaître leur créateur, Guillaume Silvestri, et s’associent à la composition de la mélodie « rendement pour capitaux investis », le single principal de son recueil le plus mémorable. L’air a été livré en janvier 2019, a atteint 3 000 000 de vues en un demi-mois et a permis à Bilal de s’adresser à la France pour l’Eurovision 2019 à Tel-Aviv, en raison du vote du public qui l’a placé en tête du peloton lors de l’émission faite pour le choix français : Destination Eurovision. C’est là que tout s’accélère et que la population exceptionnellement globale s’y retrouve. La collection la plus mémorable de Bilal, est apparue en avril 2019. Un demi-mois après les faits, pour la dernière de la rivalité mondiale, le 18 mai 2019, il s’est classé seizième sur 26, après une présentation devant 182 millions de téléspectateurs.
Bilal poursuit sa route joyeuse en faisant un cours de magnificence, partageant son temps entre YouTube et la musique. A 20 ans, en 2020, il termine son Olympia le plus mémorable. Sa collection suivante, Contre Soirée, a été laissée en plein rebond de la pandémie de Covid-19 vers la fin 2020. À l’automne 2021, il a participé à la onzième fois de l’émission Danse avec les stars sur TF1, dans laquelle il a terminé deuxième. . En juin 2022, il rejoint la partie française de l’écurie Live Nation, une gigantesque machine à visiter, située à Beverly Hills, qui gère, entre autres, les Rolling Stones, Beyoncé, Lady Gaga, Coldplay, Depeche Mode, U2, Kendrick Lamar, Sting, Rosalia, Jack White, Billie Eilish, Björk, donc encore plus. Bilal compose sur Instagram : « Conçu This Way Ball au Stade de France, j’ai 13 ans. Show de Mme Carter à Bercy, j’ai 14 ans. Mes meilleures rencontres de show ont toujours été des shows livrés par Live Nation. Aujourd’hui je suis 22 ans et je suis extrêmement émue et heureuse de rejoindre cette immense famille. A très bientôt devant public. Une chose est sûre, vous n’avez encore rien vu. »
Bilal a commencé à montrer de nouveaux morceaux de sa collection imminente en spectacle. Son premier live a eu lieu le 11 juin à DisneyLand Paris, dans le cadre de DisneyLand Paris Pride, devant 8 500 personnes. Il y interprète 45 minutes et présente deux nouveaux titres de la nouvelle collection, dont le single « Il ou Elle ». Il était, il ne faut pas craindre les mots, très ostentatoire. Le clou de cette visite qui vient à peine de commencer sera sans doute sa prochaine exposition le 28 septembre au Crazy Horse, à Paris, où il présentera intégralement la nouvelle collection. Bilal Hassani sera le principal artisan pop à se produire en spectacle dans l’incroyable club parisien.
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