NBA – RUDY GOBERT AUX TIMBERWOLVES DU MINNESOTA : UN ÉCHANGE, CINQ QUESTIONS

NBA – Le sort de Rudy Gobert dans l’Utah s’était considérablement obscurci depuis la fin de l’époque. Cependant, son échange avec le Minnesota rapporté vendredi a encore soulevé de nombreux problèmes. Concurrence avec la bande des Wolves, nouvelles aspirations, mais aussi sort du groupe Jazz… Cet échange est débordant d’intérêt.

L’organisation gratuite nous avait déjà offert des pétards avant même son ouverture pour cette semaine. Mic-macintosh Kyrie Irving, contrats XXL coûte que coûte, sollicitation de départ de Kevin Durant… Il ne manquait plus qu’un de ces « échanges de blockbusters » dont la NBA s’est rendue souveraine pour finir le tout. Celui-ci s’est produit vendredi, avec Rudy Gobert comme point d’orgue. Le joueur français quitte l’Utah, où il a disputé ses neuf premières saisons en NBA, vers le Minnesota dans un échange à cinq joueurs et quatre repêchages ajustés. Ce mouvement arrive à faire taire la tension qui régnait autour du virage, mise à disposition par le Jazz depuis assez longtemps. Pourtant, pour quels résultats ?
Suivez le GP de Formule E de Marrakech sur Eurosport le samedi 2 juillet. La fuite de Rudy Gobert était incontournable, après près de 10 ans passés dans l’établissement de Salt Lake City. Le rassemblement autour de Gobert, regarder Donovan Mitchell et le mentor Quin Snyder aura montré une tonne d’engagement, en tout état de cause, terminant au plus haut point de la Conférence Ouest un peu plus d’un an auparavant, sans comprendre comment franchir de véritables niveaux une fois. les jeux de fin de saison arrivent. La détermination d’une arrivée de cycle ne faisait alors actuellement aucun doute. «C’est de l’or ou rien»

De cette perception persistante et d’un environnement encore pesant entre les deux stars du groupe a été conçue la fin dont Gobert ainsi que Mitchell devaient quitter le bateau, un demi-mois après que Snyder en eut fait de même. Voir le Tricolore atterrir à Minneapolis semblait beaucoup plus subtil. Les nouveaux venus les plus intrigués s’étaient actuellement soit situés sur différents développements (Atlanta avec l’apparition de Spur Dejounte Murray, Dallas qui a récupéré Houston et Christian Wood vers le début de l’année), soit se sont montrés très attentifs tout en appuyer sur la gâchette (Toronto, Chicago). Le Minnesota n’a pas fait de même, offrant une réflexion plus qu’importante à l’Utah pour régler la négociation.
QUEL IMPACT POUR RUDY GOBERT ?
Les Wolves seraient à la recherche d’un tournant prudent en cette fin de printemps, profil dont Rudy Gobert est sans doute le modèle idéal en NBA. Qui d’autre alors la triple meilleure sauvegarde de l’époque pour combler ce trou ? On n’aura pas besoin d’anticiper une insurrection avec cette différence de club. Dans un établissement actuellement exceptionnel aux dons hostiles (Karl-Anthony Towns, Anthony Edwards, D’Angelo Russell…), Gobert risque de voir encore moins le ballon à l’assaut qu’en Utah. Son objectif principal sera basique : protéger la raquette des Wolves, encore loin d’être un pack surprenant de ce côté-ci du parquet.
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Rudy Gobert apportera également son expérience à un ensemble encore en développement, qui n’a obtenu récemment que sa deuxième capacité lors de la dernière étape au cours des 18 dernières saisons. La touche de l’histoire est agréable. A peine nommé chef de file de l’établissement, Tim Connelly a fait de Gobert son coup marquant le plus mémorable, lui qui était le superviseur senior qui avait repêché le local de Saint-Quentin avec les Denver Nuggets en 2013… et avait échangé son pas dans l’Utah.
RUDY GOBERT – KARL-ANTHONY TOWNS, RAQUETTE DE RÊVE AU MINNEOSTA ?
Sur le papier, l’apparition de Rudy Gobert dans le Minnesota suffit à faire sourciller plus d’un. Les Wolves considèrent comme la star fondamentale le N.1 du repêchage 2015 de Karl-Anthony Towns, qui joue dans la même situation que Gobert. Chacun des plus étonnants étant donné que Towns a un peu plus fixé son avenir avec son établissement de longue date en marquant jeudi une extension de contrat de 224 millions de dollars sur quatre ans. Les loups sont-ils tombés sur la tête ? Supposons que leurs chefs soient plus éprouvants que fous. Confrontée à l’absence de protection de base et à la dureté de « KAT », « Minny » parie sur une relation entre deux joueurs totalement contrariés plutôt que sur la recherche d’une pièce de plus plus réciproque à l’effectif actuellement mis en place que Towns.
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L’interrogation réside dans la capacité du joueur dominicain, 2,11m et 112 kilos, à se déplacer à l’endroit des points forts majeurs pour, sa rapidité, notamment en matière d’aide, est loin d’être la force. Karl-Anthony Towns n’a jamais joué à un poste autre qu’un virage dans sa vocation, et le voir évoluer à la place 4 dans une NBA focalisée sur une plus grande portabilité peut sembler confus. En tout cas, sa nature de tir, extraordinaire dans sa bienveillance pour un joueur de cette taille, devrait p

Albain Forestier

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