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Cologne – Dès 2024, les États de l’Union européenne (UE) souhaitent standardiser leurs évaluations des bénéfices des technologies de la santé (Health Technology Assessments, HTA). Les préparatifs méthodiques pour cela doivent être effectués par un consortium « EUnetHTA21 » reprendre.
Parmi les 13 organisations représentées figurent l’Institut pour la qualité et l’efficacité des soins de santé (IQWIG) et le Comité mixte fédéral (G-BA). La Commission européenne finance la poursuite du développement de la base pour la mise en œuvre du soi-disant règlement HTA de l’UE pendant deux ans avec un total de trois millions d’euros.
« Le projet est d’une grande importance pour la qualité des évaluations des avantages des médicaments et des dispositifs médicaux qui doivent être préparés conjointement dans l’UE à l’avenir. C’est donc une bonne chose qu’avec IQWiG et le G-BA, deux institutions allemandes à haute compétence méthodologique soient représentées dans le consortium », a déclaré le directeur d’IQWiG, Jürgen Windeler.
Le consortium comprend les agences IQWiG et G-BA HTA d’Espagne, d’Autriche, de Belgique, de France, d’Italie, du Portugal, d’Irlande, de Hongrie, de Norvège, de Suède et des Pays-Bas.
L’objectif primordial est d’établir des normes uniformes pour les évaluations conjointes des avantages des technologies de la santé en Europe.
À partir de 2024, des rapports d’ETS conjoints doivent être créés initialement pour tous les médicaments anticancéreux et tous les nouveaux produits. Dans un deuxième temps, au bout de trois ans, les médicaments contre les maladies rares doivent également être évalués ensemble, et au bout de deux ans supplémentaires, tous les autres médicaments et dispositifs médicaux.
Cependant, les décisions concernant la prestation supplémentaire et le remboursement des coûts des interventions restent une tâche nationale. « C’est le seul moyen de prendre en compte de manière adéquate les particularités des soins dans les différents pays ainsi que les ressources financières des différents systèmes de santé », a déclaré Windeler, saluant ce règlement. © hil / aerzteblatt.de
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