Voici ce qu’écrivaient les journaux à propos du champion du monde Remco Evenepoel : « Remcoïaans », « Année presque parfaite »,…

C’est ce qu’écrivaient les journaux à propos du champion du monde Remco Evenepoel : « Remcoïaans », « Année presque parfaite »,…

lundi 26 septembre 2022 à 11h04

Remco Evenepoel est devenu champion du monde à Wollongong dimanche d’une manière formidable. Il n’était pas facile de décrire la grandeur de sa réussite, mais les médias ont fait de leur mieux. CyclismeFlash collecté des titres et des textes de divers journaux.

Les dernières nouvelles (Belgique): « Remcoian »
« C’est phénoménal de voir comment Remco Evenepoel est devenu champion du monde hier. A sa manière : en laissant ses concurrents sans aucune chance à 25 kilomètres de l’arrivée, puis en solitaire dans le cortège triomphal vers Wollongong. C’est encore plus phénoménal qu’il décroche le titre mondial la même année où il a déjà remporté un Monument classique avec Liège-Bastogne-Liège et l’une des trois grandes manches avec la Vuelta.

« Un exploit que l’on peut désormais qualifier officiellement de « Merckxian » : Eddy Merckx a été le dernier Belge en 1971 à y parvenir en une saison. Ou devrions-nous dire « Remcoïaans », car Evenepoel n’a encore que 22 ans, et pourrait bientôt gagner son propre cachet.

Le journal (Belgique): « Le meilleur pilote du monde »

« Champion du monde après un solo de 25 kilomètres. Une avance de plus de 2 minutes. Un maillot arc-en-ciel après avoir également remporté un Grand Tour et un monument la même année. Et tout cela à l’âge de 22 ans. Ce que Remco Evenepoel a montré hier à Wollongong, en Australie, était, eh bien, Merckxian. Ou pour le dire avec Yves Lampaert : c’est tout simplement le meilleur pilote du monde.

L’Équipe (France): « L’enfant prodige belge »

« Grâce à son talent extraordinaire, Evenepoel ne s’est jamais inquiété. Il est sorti en solo avec un doigt sur la bouche, comme s’il avait enfin laissé derrière lui les critiques nées d’un début de carrière très mouvementé. Cinq ans après avoir découvert le cyclisme et deux ans après avoir failli mourir sur le Tour de Lombardie, le prodige belge est au sommet. (…) Le coureur belge a déjà le cyclisme international à sa portée et son palmarès, qui compte déjà 37 victoires professionnelles, va sans doute continuer à s’allonger.

Le titre sur la première page de L’Équipe dit ‘Le Jour du Seigneur’. En plus d’Evenepoel, des photos du coureur Eliud Kipchoge et du duo d’aviron français Hugo Boucheron et Matthieu Androdias ont également été montrées. Kipchoge a remporté le marathon de Berlin avec un nouveau record du monde, Boucheron et Androdias sont devenus champions du monde.

Le Parisien (France) : « Année presque parfaite »

« 2022 aura été une année presque parfaite pour Remco Evenepoel. Après Liège-Bastogne-Liège, la Clasica San Sebastian et le Tour d’Espagne, le prodige belge remporte son premier titre mondial en Australie. Dix ans après le dernier succès belge, celui de Philippe Gilbert. Avec ses 22 ans, Evenepoel n’est pas le plus jeune champion du monde de l’histoire. Un autre Belge, Karel Kaers, a fait le geste triomphal à l’âge de 20 ans, 2 mois et 15 jours. Mais Evenepoel aura d’autres occasions d’entrer dans l’histoire.

La Gazzetta dello Sport (Italie): « Eddy Merckx couronne Evenepoel : ‘Il a gagné comme moi' »

La Gazzetta dello Sport laisser parler Eddy Merckx. « Je lui avais déjà envoyé un message après la Vuelta, auquel Remco a répondu », raconte le triple champion du monde Merckx. « J’ai regardé la Coupe du Monde avec mon fils Axel et déjà à 50 kilomètres de la fin je me suis dit que Remco gagnerait. »

AS (Espagne) : « Evenepoel marque l’histoire du cyclisme »

« Des courses par étapes, des grandes classiques, des grands tours ou encore un championnat du monde. Quel que soit le parcours, Remco Evenepoel est toujours performant. Aujourd’hui, il l’a encore prouvé. Après sa fantastique victoire sur la Vuelta, il triomphe également au championnat du monde de Wollongong. Evenepoel marque de son empreinte l’histoire du cyclisme. Le prodige belge a fait ce qu’il sait faire de mieux : sans se retourner, accélérer et finalement franchir seul la ligne d’arrivée avec la plus grosse avance en Coupe du monde (2h21) depuis Vittorio Adorni en 1968 (9h51).

Perrine Lane

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