La mêlée. Si les joueurs les plus lourds et les plus musclés sont les arts sombres du sport du rugby. Ils disent qu’il existe une méthode de « mêlée ». Mais chaque rameur avant de la Frise aux Fidji vous le diront : personne ne sait ce qui se passe réellement lors du choc des attaquants sur le terrain de rugby. Pas vraiment. Des tours sombres.
Lors de la Coupe du monde de rugby, du 8 septembre au 28 octobre en France, la mêlée sera plus que jamais à l’honneur. Certains disent que les coups et les poussées enlèvent le lyrisme du rugby en tant que sport moderne avec des athlètes rapides qui font de la magie avec le maniement du ballon. D’autres trouvent le spectacle de style médiéval essentiel au rugby, aussi beau qu’un sonnet shakespearien.
La mêlée se déroule comme ceci : vous vous tenez penché dans une position corporelle forte avec vos sept camarades, attendant d’atteindre le point de départ. frapper peut jouer sur l’opposition qui est dans la même position. Au deuxième rang, deux joueurs mettent leur tête entre les hanches des trois du premier rang, leur main entre les jambes de la personne immédiatement devant eux pour bien saisir le short. Vous devez vous lier fermement à ce corps. Deux joueurs de chaque côté s’accroupissent avec leurs épaules gauche et droite respectivement contre les fesses des trois joueurs de la première rangée. Enfin, numéro huit : la tête entre les hanches des deux deuxièmes rameurs.
UN demi de mêlée, un petit joueur appartenant aux arrières, fait rouler le ballon dans le tunnel formé par les rameurs avant. Les joueurs grognent d’effort alors qu’ils se poussent les uns contre les autres en tant qu’unité, mêlée, luttant pour chaque centimètre d’herbe. L’odeur de la sueur fraîche mêlée au baume musculaire frotté vous fait pleurer, sans parler des pets qui se détachent sous l’effort.
« Scrum », tiré de l’anglais, est une version abrégée de mêlée, une forme alternative de mêlée apparue vers la fin du XVe siècle pour indiquer « lutte » ou « escarmouche ». De nos jours, les commentateurs du football utilisent le terme « mêlée » lorsqu’un enchevêtrement d’attaquants et de défenseurs perd le ballon et le désordre devant le but.
Nous ne connaissons pas vraiment « Scrum » en néerlandais, à part les managers qui disent des choses comme « dans le cadre Scrum, vous réfléchissez aussi tous les jours ». À propos skrum cependant, cela enseigne Dictionnaire étimologie de l’afrikaans (GJ van Wyk, 2003) : « Certaines formations d’attaquants, sinon certains joueurs bondel, qui se lient parfois après certaines fautes d’orthographe ou lors du jeu libre avec l’autre équipe. » Cette description n’est pas tout à fait correcte, même si elle est trop compliquée à expliquer ici, mais ce que je veux dire, c’est : personne ne sait exactement quoi et comment lorsqu’il s’agit de « mêlée ». Les Sud-Africains physiquement grands en particulier connaissent le skrum comme personne. Cela sera également évident en France, où les champions du monde en titre Springbokké un score élevé. Une de leurs armes : le skrum. Comment pourrait-il en être autrement, avec des attaquants appelés Frans « Bud Spencer » Malherbe ou Retshegofaditswe « Ox » Nché, des hommes qui exercent une magie mortelle là où personne ne regarde. Et puis souriez secrètement lorsque l’adversaire est éliminé.
Une version de cet article est également parue dans le journal du 25 septembre 2023.
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