« Portrait de la jeune fille en feu » est un film dont on tombe amoureux

Portrait de la jeune fille en feu est un beau film sur l’amour (impossible) entre deux jeunes Françaises.

Portrait de la jeune fille en feu est un film à regarder. À propos de la vision réelle et de ce que cela peut faire à une personne.

Portrait de la jeune fille en feu

Portrait de la jeune fille en feu se déroule en Bretagne au XVIIIe siècle, une époque où les mariages de convenance entre membres de différentes familles nobles étaient tout à fait normaux. Souvent, les futurs époux ne se connaissent même pas.

Mais il existe une solution pour cela : un portrait de mariage. Les parents de la mariée font peindre un portrait de leur fille qu’ils envoient au futur marié « pour approbation ».

Peinture

La peintre Marianne (Noémie Merlant) entre en scène Portrait du jeune remplissage en feu la commande du portrait de mariage d’Héloïse (Adèle Haenel). Condition : elle doit faire cela sans qu’Héloïse ne s’aperçoive de ce qu’elle fait.

Au cours de longues promenades le long des côtes bretonnes, ils se parlent de tout et de rien. Pendant ce temps, Marianne absorbe soigneusement chaque détail d’Héloïse, prête à le peindre plus tard – lorsqu’elle sera seule. L’attention que les femmes se portent mutuellement crée un lien étroit, qui se transforme en un amour qu’elles n’ont jamais ressenti auparavant et qu’elles ne ressentiront plus jamais.

Réalisatrice Céline Sciamma (Jeunesse et Garçon manqué) dépeint cela avec une grande attention et un grand souci du détail, ce qui rend presque impossible de ne pas sympathiser avec Héloïse et Marianne.

Marceline Desjardins

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