Bientôt, vous ne trouverez peut-être plus de « steak » ou de « côtes levées » végétales dans les supermarchés français. Le gouvernement français souhaite restreindre l’utilisation de noms d’animaux pour les alternatives végétales.
In het kort
- Frankrijk wil dierlijke namen voor plantaardige alternatieven verbieden.
- Boeren en vleesbedrijven strijden al langer tegen namen als ‘vegetarische schnitzel’ omdat ze die misleidend vinden.
- De Franse regering kijkt nu of het verbieden van de namen in strijd is met de EU-regelgeving.
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Les agriculteurs et les entreprises de viande luttent depuis longtemps contre des termes tels que « burger à base de plantes » ou « saucisse végétalienne ». Ils prétendent que ces noms confondent les consommateurs.
Ce n’est pas la première fois qu’il y a des discussions sur les noms de viande végétarienne. Le Parlement européen a déjà voté en 2020 sur la référence aux produits d’origine animale dans les substituts de viande. Certains disent que les noms sont trompeurs.
Le Parlement a ensuite voté contre la proposition. Résultat : les burgers végétariens sont toujours présents sur les étals partout en Europe.
Selon un avocat, le projet est contraire aux règles de l’UE
Le tribunal français a désormais demandé conseil à la Cour de justice de l’Union européenne avant de rendre une décision définitive.
Selon l’avocat représentant les fabricants d’alternatives végétaliennes et végétariennes, le projet d’interdire les noms de viande viole la réglementation européenne. Les noms d’animaux tels que « côtes levées » n’ont pas de définition légale stricte.
Si la décision est adoptée, il faudra attendre au moins trois mois avant qu’elle entre en vigueur. Cela laisse le temps aux fabricants d’ajuster leur étiquetage.