La France est le premier créancier bilatéral du Maroc à fin 2022, avec une dette de 37,8 milliards de dirhams (39,2% de la dette bilatérale totale).
Cela ressort clairement d’un rapport du ministère marocain de l’économie et des finances, consulté par le journal L’Opinion.
La dette bilatérale du Maroc s’élevait à la fin de l’année dernière à 96,5 milliards de dirhams (22,8 pour cent de la dette extérieure totale). Près des trois quarts de cette somme proviennent de l’Union européenne, 12,9 pour cent du Japon et 10,3 pour cent des pays arabes.
Après la France, les principaux créanciers bilatéraux du Maroc sont l’Allemagne (23,6 milliards de dirhams), le Japon (12,4 milliards de dirhams) et l’Arabie saoudite (6 milliards de dirhams). Les pays arabes ont ensemble une créance de 10 milliards de dirhams.
Les principaux créanciers multilatéraux du Maroc sont les institutions internationales de développement. La Banque mondiale détient 41,9 pour cent de la dette multilatérale, suivie par la Banque africaine de développement (23,5 pour cent) et la Banque européenne d’investissement (15,5 pour cent).
Les organisations islamiques et arabes détiennent une part de 12,2 pour cent de la dette multilatérale. Le Fonds arabe pour le développement économique et social est le principal créancier, avec 14 milliards de dirhams.
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