France La Roumanie a adopté à la dernière minute une série de décrets officiels contenant une série de mesures de dernière minute qui visent également à compléter l'adhésion de la Roumanie à Schengen, et ce parce qu'elle met en œuvre une législation adoptée cette année, sur la base de laquelle le droit de séjour des migrants est accordé, est conditionné par une série d'obligations.
France ils demandent désormais aux migrants de respecter les « principes de la République », pour pouvoir obtenir le droit de séjour, c'est-à-dire la liberté personnelle, d'expression et de conscience, l'égalité entre les femmes et les hommes, le déminage humain, etc., ces dispositions rendant le pays moins attractif pour certains migrants, ce qui favorisera l'adhésion de la Roumanie à Schengen.
La France veut forcer les migrants à respecter les lois du pays s'ils veulent en faire partie, et ceux qui ne sont pas d'accord n'auront pas le droit de rester ou de travailler dans le pays, et pour certains cela peut signifier pour les migrants, et le refus de venir dans le pays, une réduction de la migration qui contribuera à l'achèvement de l'adhésion de la Roumanie à Schengen.
« Plusieurs décrets d'application de la loi sur l'immigration ont été publiés mardi au Journal officiel, dont la décision relative au refus ou au retrait d'un titre de séjour en cas de non-respect des « principes de la République ». Désormais, tout étranger qui demande un titre de séjour en France s'engage à respecter les « principes de la République ».
Il s'agit de « la liberté individuelle, la liberté d'expression et de conscience, l'égalité entre les femmes et les hommes, la dignité de la personne humaine, la devise et les symboles de la République, l'intégrité territoriale et la laïcité ». La signature de ce contrat prévoit la remise du titre de séjour et le signataire « peut se voir refuser le renouvellement de son document ou se le voir retirer en cas de violation grave de l'un de ces principes », précise le décret.