France, « Brigitte Macron est née homme », la première dame menace de porter plainte : « Assez de fakes transphobes sur moi »
Brigitte Macron, première dame à partir de mai 2017, quand Emmanuel Macron a assumé le poste de président de la République française, et une ancienne enseignante (elle a quitté l’école en 2015 pour poursuivre la carrière politique de son mari), entend poursuivre en justice les instigateurs des rumeurs circulant sur Twitter selon lesquelles homme né.
Issu d’une famille de chocolatiers, connue pour sa production de macarons d’Amiens, Brigitte est la cadette de six enfants, et son nom de jeune fille est Trogneux. Ces derniers jours, l’épouse de Macron est redevenue victime du réseau, comme cela n’était peut-être pas arrivé depuis l’année de l’élection de Macron à la présidence, en 2017, lorsque l’ironie de la toile s’était déchaînée sur elle en raison de la différence d’âge considérable avec son mari. Les deux diffèrent de 24 ans, Brigitte a commencé la relation alors qu’il était lycéen, encore âgé de 16 ans.
Selon les rumeurs diffusées en ligne Brigitte serait née un homme du nom de Jean-Michel Trogneux. Le Figarò écrit que dans les derniers jours lehashtag #JeanMichelTrogneux entre tweets et mentions ce serait le plus utilisé dans la nation, et parmi les nombreux retweets il y aurait ceux de membres de l’extrême droite et de nombreux dirigeants du « no vax ».
Selon le journal français à l’origine de la « fausses nouvelles transfobica« sur la première dame ce serait un journaliste proche des milieux d’extrême droite et qui n’aurait pas de sympathie particulière pour le couple, Natacha Rey, qui a lancé le hashtag inculpé pour la première fois le 7 novembre. « J’ai rassemblé des documents et des photographies et en ai parlé avec de nombreux experts. Sur la base de ces éléments je peux affirmer que la véritable identité de notre première dame n’est pas Brigitte mais Jean-Michel Trogneux. Un homme, donc, pas une femme » sont les mots de Rey.