TORINO – Cela ressemble à un jeu vidéo, dans lequel le coefficient de difficulté augmente à chaque niveau. La Juventus est de retour après trois victoires consécutives en championnat. Le premier, niveau un, était la « bataille du salut » contre Spezia. Puis le match avec « une équipe qui a les mêmes points que nous », qui était la Sampdoria. Et pour suivre le derby contre Toro, pour « faire un autre morceau ». Bon, très régulièrement, maintenant que la pause est terminée et que le championnat reprend, les Bianconeri se retrouvent devant la Roma dans un défi de zone Ligue des champions (étant donné que battre les Giallorossi ne suffirait pas, à la Juventus, à les accrocher au classement . ). Juste après, samedi prochain, rien de moins que le grand match contre l’Inter, à San Siro. Pas mal, non ?
Calendrier en main, jusqu’à la prochaine étape, en avant avec trois matches théoriquement plus abordables : Sassuolo et Fiorentina au Stadium, entrecoupés du déplacement à Vérone. Ne présumons jamais que tout allait bien, il y aurait la possibilité de donner un bon coup au moral et de prendre conscience contre la Roma et l’Inter et ensuite d’avancer sur la vague d’enthousiasme. C’est pourquoi, pour une fois, Allegri est allé au-delà d’une simple analyse au nom de « pensons jeu par jeu » et a au contraire élargi le champ des réflexions. Tout cela, bien sûr, sans oublier qu’au même moment la Juve aura l’occasion de clore d’avance le discours de Ligue des champions face au Zenit.