Oubliez un instant que vous courez parce que vous aimez ça, parce que vous voulez perdre du poids ou parce que vous voulez devenir plus rapide. Aujourd’hui, nous nous penchons uniquement sur les bienfaits de nos kilomètres de course pour la santé. Que devrions-nous faire pour une meilleure santé ? Nous l’avons recherché pour vous.
Plus d’exercice pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires
Pour réduire votre risque de maladies cardiovasculaires, de diabète et d’obésité, plus vous faites d’exercice, mieux c’est. Une personne qui fait de l’exercice 75 minutes par semaine présente déjà un risque plus faible de maladie cardiaque qu’une personne qui ne fait pas d’exercice. Si vous êtes actif 150 voire 300 minutes par semaine, vous courez encore moins de risques. Cela concerne les activités dans lesquelles vous êtes modérément à intensément actif : cela inclut la course à pied, mais aussi le vélo ou la natation. Vous pouvez réaliser ces 150 (ou 300) minutes en deux ou trois séances d’entraînement ou les répartir sur 7 jours. Cela ne semble pas faire une grande différence pour votre santé.
Les bienfaits de l’entraînement de force et d’équilibre
Hors circulation en raison d’une blessure ? Cela ne doit pas être un problème. L’entraînement en force (2 à 5 fois par semaine) est également bénéfique pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires. L’entraînement en force aide également à maintenir la force et l’équilibre. Surtout pour les personnes âgées, il est important d’ajouter un entraînement de force et d’équilibre pour rester en bonne santé. Cela concerne principalement les grands groupes musculaires, comme les squats, les fentes et les soulevés de terre. Ce qui est frappant : on dit également que l’entraînement en force aide à rester en bonne santé mentale. Vingt minutes, deux fois par semaine, auraient déjà un effet bénéfique sur notre humeur.
Ne reste pas assis trop longtemps
En plus de faire beaucoup d’exercice, il est également sain de ne pas trop rester assis – cela existe syndrome du cul mort. Il n’existe pas encore de directive claire quant à la durée maximale pendant laquelle nous sommes « autorisés » à rester assis à la fois : en France, on parle de 90 minutes, en Belgique, il faut « se remettre à l’action après 30 minutes d’immobilisme ». Alors quand il s’agit de faire de l’exercice, plus c’est mieux. Pour rester assis : moins il y en a, mieux c’est.