Le ministre des Affaires étrangères : « Le premier ministre continue de diriger une situation si difficile »
L’Italie ne peut pas se permettre de perdre Mario Draghi, il est dans l’intérêt de notre pays que Draghi continue de mener une situation aussi difficile. C’est ce qu’a déclaré le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Luigi Di Maio, s’exprimant à la « Fête de l’optimisme 2021 ″, organisé à Florence par le journal « Le papier ». « En 2022, au-delà des décisions sur le Quirinal, nous devrons faire face au débat sur les nouveaux critères du pacte de stabilité au niveau européen. Il existe aujourd’hui des axes très importants entre l’Italie et la France et entre l’Italie et l’Allemagne qui nous permettront d’initier ce débat, garantissant une croissance durable pour sortir de la pandémie et de la crise économique », a ajouté Di Maio.
S’il pouvait voter à l’élection présidentielle française, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale Luigi Di Maio choisirait le président sortant Emmanuel Macron, a déclaré Di Maio. « Je ne veux pas m’en mêler, mais à Dieu ne plaise », a répondu le patron de la Farnesina à une question sur le sujet, rappelant la contribution de Paris « au résultat important » du plan UE Next generation. Di Maio a également évoqué le traité du Quirinal signé cette semaine à Rome, le qualifiant de « grande opportunité pour l’Italie et la France, mais aussi pour l’Europe », notamment pour le dossier de la gestion des flux migratoires. L’Italie, a rappelé le ministre, est le premier pays pour les mouvements primaires de migrants, la France pour les mouvements secondaires. « Nous travaillerons ensemble sur cette question, ainsi que sur celle du pacte de stabilité et de croissance », a ajouté Di Maio, soulignant notamment la clause du traité qui prévoit la participation d’un ministre italien au Conseil des ministres français chaque année. trois mois et vice versa.
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