Le Belge Michael Vanthourenhout a un dur combat Championnat d’Europe de cyclo-cross remporté. Ce n’est pas seulement une victoire pour lui et son pays, c’est aussi une victoire pour son équipe Pauwels Sauzen-Bingoal. Dans le maillot de Leader a parlé au patron de l’équipe Jurgen Mettepenningen après le match
Après sa victoire retentissante dans le Koppenbergcross mardi, Van der Haar a été bombardé en tant que grand favori pour le Championnat d’Europe. Cependant, il n’a pas pu être à la hauteur de son statut, même s’il a rendu la tâche assez difficile à Vanthourenhout. Selon son chef d’équipe, le secret du Belge était sous la pluie. « Au moment où c’est devenu plus technique, Michael a pris l’avantage. Chaque goutte de pluie jouait à son avantage. Van der Haar doit compter davantage sur la puissance et Vanthourenhout sur la technique. Donc, plus la piste était fluide, mieux c’était pour nous. La pluie a permis à Michael de jouer sa technique.
Mettepenningen : « Vanthourenhout et Iserbyt étaient au même niveau au sein de l’équipe »
Au début de la course, Vanthourenhout lui-même a fait quelques erreurs et Van der Haar s’est éloigné du Belge. Mettepenningen avait-il encore un bon œil à l’époque ? « A un certain moment, vous voyez que le carnet de commandes de Michael est de quinze secondes, sur un bon Lars van der Haar. C’est bien sûr beaucoup, mais vous avez aussi vu que Michael se rapprochait seconde après seconde. Et puis vous espérez que s’il peut y arriver, il aura le dessus sur le plan mental. Van der Haar a alors commencé à subir une certaine pression et a commencé à faire de petites erreurs. Et puis Michael aurait commencé à voler.
Là où tout le monde du cyclo-cross attendait principalement Eli Iserbyt du camp de Pauwels Sauzen-Bingoal, c’est Vanthourenhout qui a remporté le titre européen. Quelle était la confiance au sein de l’équipe envers le tout nouveau champion d’Europe ? «Ils étaient au même niveau au sein de l’équipe. Si vous avez vu le cross à Namur l’année dernière, vous avez déjà vu qu’il peut très bien s’en sortir ici. La confiance en Michael était donc bien présente. On avait vraiment compté sur deux pions’, conclut le contremaître.