Les Mission Chang’e-5 qui a ramené les dieux échantillons de rock et lunaire réglementé fin 2020 il a déjà donné quelques fruits en termes de recherche. Les premières études ont été publiées ces dernières semaines. Mais il reste encore beaucoup à découvrir, notamment parce que certaines questions ont été soulevées sur l’évolution lunaire.
Selon les rapports, les échantillons qui ont été prélevés sur le mission chinoise sont les plus « récent » jamais analysé. Ceci aussi compte tenu des missions Apollo et Moon (respectivement des USA et de la Russie). Des analyses ont trouvé une présence rare de KREEP retracer leur formation à environ il y a 2,03 milliards d’années. Les analyses ont également permis de décaler l’activité volcanique sur notre satellite d’environ 800-900 millions d’années vers les époques les plus récentes. Mais c’est seulement le début.
Des échantillons de Chang’e-5 seront analysés par des scientifiques français
L’une des dernières nouvelles concerne la possibilité pour certains Centres de recherche français et scientifiques associés pour analyser des échantillons de Chang’e-5. C’est possible car depuis le début de l’année, la Chine a également mis à disposition des échantillons pour la recherche internationale. Jusqu’à il y a quelques mois, l’interdiction a été abandonnée sans aucune proposition, probablement aussi en raison des tensions entre la Chine et les États-Unis (où la NASA ne peut collaborer d’aucune façon avec la CNSA).
La nouvelle s’est répandue sur le site China News où il est indiqué que le CNRS (centre national de recherche) et lo CNES ont conclu un accord avec l’homologue chinois dans ces heures. Il y aura une collaboration en termes de personnel et d’échange de projets de recherche même si les détails ne sont pas encore publics.
L’objectif est d’amorcer une véritable collaboration internationale entre les départements chinois et ceux d’autres pays (en l’occurrence la France). L’ESA a déjà collaboré avec la CNSA lors de la Mission Chang’e-5 surveiller avec ses propres antennes le mouvement de la sonde dans l’espace et envoyer ses données en Chine.
L’étude de ce type d’échantillons pourrait également révolutionner la datation des surfaces planétaires (à partir des cratères). L’Etude de Li Xianhua trouvé comme le Lune évoluait encore il y a 2 milliards d’années et non il y a 4 milliards d’années. Dans un autre étude au lieu de cela, la teneur en eau a été analysée, qui est inférieure à celle des échantillons de la mission Apollo (originaires il y a entre 4 milliards et 2,8 milliards d’années). L’dernière étude au lieu de cela, il regarde précisément l’origine des basaltes et la quantité réduite de KREEP à l’intérieur par rapport à ce qui était attendu.