«Il faut distinguer deux choses», déclare Maier NOS avec un œil sur demain. « L'âge chronologique, mais nous ne pouvons pas encore inverser cela. Et l'âge biologique. Nous pouvons maintenant le mesurer et lui donner une année. De cette façon, nous pouvons également inverser l'âge biologique. »
Cela peut être fait à l'aide de tests développés ces dernières années, explique Maier. « C'est ce qu'on appelle des horloges biologiques. Les substances corporelles, comme le sang, la salive et les excréments, peuvent être utilisées pour calculer l'âge d'une personne. Ensuite, on vous donne un âge. Ce n'est pas l'âge du passeport, mais l'âge biologique. »
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L'âge biologique est fluide, selon Maier. « En fonction de votre comportement, après quelques mois, vous pouvez être plus jeune ou plus âgé. Avec ces tests, nous disposons d'outils importants dans le domaine de la science, mais aussi dans le cadre des soins aux patients. Nous avons le Médecine de longévité saine a été fondée, où nous cherchons à promouvoir la santé.
Il s'agit d'une évolution importante, estime Maier. « Nous optimisons le corps pour prévenir le vieillissement, car c'est le plus grand facteur de risque de maladie liée à l'âge. Si vous combattez le vieillissement, vous réduisez le risque de développer une telle maladie. Vous parlez alors d'insuffisance cardiaque, de démence et de cancer. «
Maier sait qu'en adaptant simplement son alimentation, l'âge biologique changera. « Il existe des données scientifiques solides selon lesquelles les gens peuvent alors vivre six ans de plus. Alors mangez plus de légumineuses, moins de viande rouge et certainement moins de viande blanche. Nous seuls le savons depuis vingt ans. »
Plus personnel
La prochaine étape consiste à rendre ces conseils plus personnels, explique Maier. « Nous donnons actuellement des conseils au niveau collectif, mais cela doit être individuel. Alors, qui devrait faire 20 000 pas par jour et qui devrait manger quelques choux de Bruxelles de plus ? Cela existe déjà, car il y a des pays qui le font. »
Il existe déjà des cliniques spéciales pour cela à Singapour. Ceux-ci arriveront également aux Pays-Bas, espère Maier. « Il y en a déjà un certain nombre en préparation. Malheureusement, cette forme de médecine n'est pas encore intégrée. Car n'est-il pas agréable de ne pas laisser le corps se détériorer ? »