L’organisation du Grand Prix de France s’affaire à maintenir au calendrier la course du Circuit Paul Ricard. Cependant, les récents rapports sur les déclarations de Stefano Domenicali et le futur calendrier de la Formule 1 créent une situation difficile pour l’organisation.
Domenicali a récemment parlé de l’avenir de la Formule 1. Le PDG italien de la catégorie reine en a eu une conversation avec Sports du ciel sur l’avenir du calendrier et ont annoncé vouloir de plus en plus de courses au calendrier, avec peut-être même une trentaine à l’avenir. Les circuits traditionnels devraient également disparaître. « Certains organisateurs ont des contrats qui arrivent à expiration et certains d’entre eux ne figureront probablement plus au calendrier après cela », a-t-il déclaré.
L’organisation veut continuer
Les déclarations de l’Italien ont provoqué pas mal d’émoi autour, par exemple, du Grand Prix de France sur le Circuit Paul Ricard. GPF Fans comprend de sources très sûres proches du feu que l’organisation de la course, qui a été remportée par Max Verstappen l’an dernier, s’affaire en toile de fond pour maintenir le Grand Prix de France au calendrier à l’avenir. L’objectif est d’alterner l’organisation tous les deux ans, afin que la course n’ait pas lieu tous les ans, mais une fois tous les deux ans.
Subventions
Cependant, les nouvelles récentes ont provoqué un hoquet en ce qui concerne les négociations avec le gouvernement français. Le Grand Prix de France est en effet soutenu par diverses subventions de la Assemblée nationale, la Chambre des communes française. À l’heure actuelle, l’organisation est en pleine discussion avec le gouvernement du président Emmanuel Macron sur l’extension de ces subventions.
Bruit sur la ligne
Les reportages des médias sur la possible perte d’une place au calendrier pour les Français rendent cependant ces pourparlers plus difficiles. Ceci alors qu’en toile de fond on discute avec la FOM de la possibilité d’organiser la course tous les deux ans, en alternance avec un circuit différent. Malgré le bruit sur la ligne, le promoteur de l’épreuve française espère apporter plus de certitudes sur l’avenir du Grand Prix de France dans la période à venir.
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