Le musicien britannique David Gilmore peut être heureux. Le 15 juin 2021, le guitariste et chanteur de Pink Floyd a obtenu gain de cause en appel contre le créateur de la chanson populaire de la SNCF, utilisée pour les publicités des chaînes dans toute la France. Gilmore a utilisé ces quatre notes puissantes pour sa chanson en 2015Évaluez cette serrure.
C’est l’histoire de quatre notes de musique connues des Français qui se retrouvent au tribunal. Le musicien britannique David Gilmore, chanteur et guitariste du groupe populaire Pink Floyd, Le 15 juin 2021, il a obtenu gain de cause contre le créateur du populaire numéro SNCF, utilisé pour les publicités des stations. Le compositeur français Mikhaïl Boumendel a demandé une indemnité d’environ 500 mille euros.
L’objet du litige ? Quatre notes (do, sol, la bémol et mi bémol pour la plupart des mélomanes) sont utilisées par la SNCF depuis 2005, notamment lors des annonces en gare.
Une composition simple mais efficace qui a attiré l’attention de David Gilmore en 2013. En attendant son train à Aix-en-Provence, le célèbre guitariste est tombé sous l’emprise de cette mélodie et l’a enregistrée sur son téléphone portable.
« Il voulait me rencontrer et avoir ma bénédiction pour avoir utilisé ma chanson parce qu’il est devenu fou », Le compositeur français Michael Boumendel a déclaré : tome édition du soir en 2015. J’ai accepté l’accord avec la SNCF et nous avons commencé à travailler ensemble à Londres. En tant que compositeur, je l’ai aidé avec la pièce où nous entendons la chanson. «
Ensuite, David Gilmore a sorti un numéro. autorisé Évaluez cette serrureIl est sorti en 2015 et est devenu le titre de l’album du même nom.
Si le vieil adage dit que la musique calme le moral, c’est tout le contraire Évaluez cette serrure ! La chanson est à l’origine d’une dispute de longue date qui mettra le feu aux poudres entre l’artiste britannique de 75 ans et le compositeur français qui a créé la chanson en 2004.
Franchement, après le début d’une collaboration cordiale entre les deux hommes, l’ambiance s’est refroidie lorsque Michael Boumendel a révélé la collaboration sur la radio française RTL en juillet 2015. Quelques jours avant la sortie officielle de la chanson.
Cette interview ne satisfait pas beaucoup les producteurs de David Gilmore. Ce dernier estime par la suite que Michael Boumendel n’a pas respecté son obligation de secret et a interdit au compositeur français de promouvoir l’album.
Violations des dispositions contractuelles
Michael Boumendel répond en inculpant David Gilmore pour : « falsification » Une demande de dommages et intérêts d’environ 500 milliers d’euros devant le tribunal de grande instance de Paris. Il précise que David Gilmore n’a pas utilisé ses notes de chansons comme prévu, mais un enregistrement audio de publicités diffusées par la SNCF dans les gares.
Les juges ont noté que le lendemain de sa rencontre avec David Gilmore, Mikhail Pomendel a exprimé le souvenir de cette rencontre dans une lettre, sans laisser de trace de surprise ou de frustration..
Tel est l’enthousiasme du compositeur français lors de l’interview sur RTL « Cela ne semble pas compatible avec l’hypothèse d’une rupture des clauses contractuelles, qui ont été négociées entre professionnels à des conditions qui ne permettraient pas d' »oublier » l’acquisition des droits sur les produits, La justice française définit. Initialement infructueux en 2019, le compositeur français n’a pas baissé les bras et a repris.
Mauvaise stratégie… Le 15 juin 2021, la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement de première instance et a de nouveau débouté Michael Boumendel et l’a condamné à verser 10 000 euros à David Gilmore, ce qui correspond aux frais de justice.
Monté ? Le jury note que le contrat entre le guitariste britannique et le compositeur français stipule que David Gilmore est « Autorisé à combiner, modifier et utiliser le monstre ».
« Drogué du Web. Évangéliste des médias sociaux. Communicateur professionnel. Explorateur amateur. Praticien en alimentation. »