Pour ceux qui ont seulement joué risque, le premier jeu un Le roi est mort cela peut être déstabilisant. Il y a une carte, qui se remplit d’emblée de soldats représentés par des cubes en bois colorés (rouge pour les Gallois, jaune pour les Britanniques et bleu pour les Écossais), il y a des troupes à déployer ou à déplacer, et à chaque tour un territoire sera conquis. Mais les similitudes s’arrêtent là.
Oui, car contrairement aux jeux de guerre classiques, les joueurs ne jouent aucune des factions en compétition pour la carte. Ce sont plutôt des dieux éminences grises qui manipulent les territoires et les alignements, les affaiblissant ou les renforçant selon les meilleures opportunités du moment, sans aucune loyauté. Le joueur qui semblait se ranger du côté des Écossais jusqu’au dernier tour a pu assurer la victoire avec un rapide volte-face en faveur des Britanniques. Ou encore en vendant le pays aux Français.
Cela commence par un configuration aléatoire qui voit une distribution aveugle à la fois des cubes de soldats sur la carte et de l’ordre dans lequel les conflits sur les huit territoires seront résolus. Le jeu est divisé en huit tours maximum, au cours desquels les prétendants jouent à tour de rôle menu de ta main. Les cartes vous permettent de placer de nouvelles troupes sur la carte, de les échanger ou de déplacer le centre du conflit d’un territoire à un autre. Après avoir joué chaque carte, le joueur actuel doit également prendre un cube soldat de son choix sur la carte, le soustraire de n’importe quel territoire, et l’ajouter au sien. partisans.