Cela écrit CNRC Aujourd’hui. Le journal a appris la nouvelle par le biais d’une enquête sur un fonctionnaire du fisc d’Amsterdam qui aurait pu être en contact avec le groupe autour du grand criminel Ridouan Taghi.
Ce fonctionnaire est soupçonné de corruption, de blanchiment d’argent et de manquement à son devoir de confidentialité. Son cas continuera d’être entendu cette semaine.
Plaques d’immatriculation et informations financières
L’administration fiscale et douanière travaille avec environ 900 systèmes informatiques différents, écrit le NRC. Ceux-ci ne sont généralement pas liés les uns aux autres. Les employés peuvent, par exemple, rechercher des coordonnées, des plaques d’immatriculation ou des informations financières dans les systèmes.
25 000 employés
Il n’y a pas de journal indiquant qui a consulté quelles informations. Selon le journal, cela conduit à « des inquiétudes croissantes dans l’enquête ». L’administration fiscale et douanière compte 25 000 employés, 10 000 ont accès aux informations sensibles de la vie privée des citoyens ou des entreprises.
L’administration fiscale et douanière reconnaît qu’il n’y a pas de « données de journal » de ce que les employés recherchent. Le service dit qu’il peut mener une «enquête appropriée» si quelqu’un est suspect, mais on ne sait pas exactement comment cela se produit.
Tentative d’évasion Taghi
L’année dernière, Taghi était occupé à organiser une épidémie depuis l’établissement extra sécurisé (EBI) de Vught. Une enquête a ensuite révélé que les systèmes de l’administration fiscale et douanière avaient été fouillés à la recherche d’informations sur quatre employés d’EBI. Vraisemblablement, ils seraient pris en otage pour faire libérer Taghi.
Comme il n’y a pas de journal de bord, selon le NRC, l’administration fiscale et douanière ne peut pas savoir si les systèmes ont effectivement été fouillés à ce sujet.