Les rumeurs sur le transfert de richesse de Hakimi à sa mère sont de « fausses nouvelles », selon un journaliste français

Le journaliste et reporter sportif français Gilles Verdez déclare dans un reportage du service d’information français Le 10 Sport.

Le journaliste sportif dit qu’il est impossible de garer ses actifs avec quelqu’un d’autre pour empêcher les autres de le réclamer légalement. « Ce n’est pas possible », a déclaré le journaliste. Ni en Espagne, ni au Maroc, ni en France.

Omar El Adlouni, professeur à l’université française La Sorbonne, est d’accord. Les rumeurs sont impossibles d’un point de vue légal car il y a des conséquences financières, fiscales et juridiques si vous mettez votre bien au nom de votre mère.

Dans un article sur LinkedIn, El Adlouni a dénoncé les rumeurs persistantes, expliquant qu’en vertu des lois actuelles sur le mariage en Europe, les époux ne peuvent pas transférer d’actifs pour éviter de diviser les actifs en cas de divorce, car cela est considéré comme une infraction pénale.

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L’actrice hispano-tunisienne Abouk, qui divorcé le mois dernier de l’international marocain, aurait réclamé la moitié de la valeur nette de Hakimi, mais aurait découvert que le footballeur du PSG n’a rien à son nom.

Les rapports suggèrent que Hakimi aurait enregistré tous ses biens sous le nom de sa mère. Elle aurait reçu son salaire sur son compte bancaire pendant un certain temps et serait la seule bénéficiaire de ses revenus et de sa richesse accumulée.

Mais selon les dispositions habituelles dans la plupart des pays européens, dont la France, l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie, où Hakimi vit depuis 10 ans, tous les biens acquis par l’un des époux pendant le mariage sont partagés en cas de divorce, souligne également El Adlouni.

Si Hakimi et sa femme avaient choisi de garder leurs biens séparés, ils auraient dû signer un contrat de mariage pour ce faire. Si le footballeur voulait transmettre ses biens à sa mère avant le divorce, il aurait dû en informer sa femme. En outre, il a dû remettre environ la moitié des actifs au fisc.

Si Hakimi effectuait les transferts d’actifs sans consultation, après que le divorce ait déjà été déposé, il encourrait une peine de 5 ans de prison.

Perrine Lane

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