Manchester United était d’ailleurs la dernière équipe à ne pas avoir pris la peine de s’entraîner pour un rendez-vous européen sur le territoire de Rotterdam. La Mancuniens perdu en 2016 1-0. Sampaoli travaille depuis treize mois sur le volcan de Marseille, son deuxième club en Europe après Séville. Il a bien fait, avec une défaite lors des onze derniers matches. Seul le Paris Saint-Germain, champion national, a été récemment trop fort : 2-1. Mais Marseille est sur la bonne voie pour se qualifier en tant que numéro deux pour la phase de groupes de la Ligue des champions.
Sampaoli espère Luan Peres à De Kuip. Si l’arrière gauche brésilien n’y parvient pas, alors le Bosnien Sead Kolasinac jouera. Il avait également les compliments nécessaires pour l’équipe d’Arne Slot à l’avance. « C’est une équipe qui joue très bien, avec beaucoup de variété et des transitions rapides. Ils ont des joueurs très offensifs. Mais Feyenoord n’est pas que cela. C’est une équipe qui joue très bien en transition. C’est là qu’ils peuvent faire le plus mal. »
Sampaoli a souligné que ses joueurs doivent être vigilants lorsqu’ils perdent le ballon. « Feyenoord est une équipe qui met une excellente pression, avec beaucoup d’intensité et sur de longues périodes. Nous ne devons pas nous laisser emporter. Et si on perd le ballon, il faudra essayer de le récupérer le plus vite possible. »
Feyenoord et Marseille ont quelques similitudes. Tous deux sont les premiers vainqueurs de la Coupe d’Europe I annexe Ligue des Champions dans leur pays : Feyenoord en 1970 et l’OM en 1993. C’était aussi leur seule fois jusqu’à présent. Les deux clubs viennent d’une grande ville portuaire, alors que la haine pour la capitale, Paris et Amsterdam, est grande.
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