Si nous respectons le droit de grève des syndicats français, ce devraient être les vols intérieurs français qui doivent être annulés.
Mais au lieu de cela, il s’agit principalement de survols, explique la compagnie aérienne à bas prix. Celles-ci concernent les aéronefs qui ne font que survoler le territoire français, mais n’y atterrissent pas. Ces vols ne sont pas non plus possibles, car la surveillance de l’espace aérien français est insuffisante en raison de la grève.
La semaine dernière, la compagnie aérienne irlandaise à bas prix a déjà soumis une pétition à la Commission européenne par mécontentement. Il a été signé par plus de 1,1 million de passagers « marre que leurs vacances soient gâchées parce que les survols sont inutilement annulés lors des grèves françaises des contrôleurs aériens », a déclaré Ryanair.
Mardi marque la 14e fois que les syndicats français organisent des grèves nationales contre les régimes de retraite du gouvernement. Quelque 400 000 à 600 000 personnes devaient se présenter aux manifestations. Ce serait moins que le taux de participation de plus d’un million de personnes plus tôt cette année.
L’impact attendu des grèves a varié mardi. Par exemple, la société nationale des chemins de fer SNCF a supposé que l’horaire serait « légèrement perturbé ». Le réseau de métro dans et autour de Paris fonctionnerait normalement. A l’aéroport de Paris-Orly, en revanche, un tiers des vols au départ ont été annulés.
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