Le diffuseur britannique s’est entretenu avec le chercheur principal Gabriel Jorgewich-Cohen. Il a commencé ses recherches en remplissant les abris des zoos d’équipements audio et vidéo spéciaux.
Si les microphones captaient le son, il pouvait alors utiliser des images pour essayer d’établir des modèles de comportement. De cette façon, il pouvait identifier les sons fixes et exclure les sons « accidentels ».
Jorgewich-Cohen a examiné un lézard pont, un poisson-poumon, une salamandre ver et pas moins de cinquante espèces différentes de tortues. Avec ces derniers animaux, il a pu savoir, par exemple, quand ils voulaient s’accoupler ou éclore. « Dans cette situation, les tortues chantent depuis l’œuf », affirme Jorgewich-Cohen.
Le lézard du pont ferait du bruit pour empêcher les autres animaux d’entrer sur son territoire.
Les cris d’animaux sont souvent trop difficiles à capter
Les animaux ont toujours communiqué entre eux, mais l’humanité n’a jamais pensé à les écouter. nouvelles de la BBC Jorgewich-Cohen. « Les sons sont trop difficiles à capter dans des situations normales. »
Selon le chercheur, les sons n’ont pas été captés auparavant, car les animaux sont silencieux pendant de longues périodes. Par exemple, il peut parfois y avoir des jours entre différents moments de communication.
La recherche sur les sons cachés des animaux a été publiée dans la revue scientifique Communication Nature.
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