Les désaccords au Parlement européen entraînent de nouvelles règles pour réglementer les grandes entreprises technologiques, également connues sous le nom de ‘Grande technologieToujours en attente d’approbation écrit le Financial Times.
Les règles proposées sur les services et les marchés numériques, qui devraient limiter le pouvoir des géants américains de la technologie, sont qualifiées d’urgentes par la Commission européenne. La commissaire européenne Margrethe Vestager (Concurrence) espère que le Parlement européen, les États membres et la Commission pourront parvenir à un accord au printemps 2022.
querelles
Mais plusieurs commissions du Parlement européen se chamaillent pour savoir qui dirigera le débat sur les propositions avant que les députés européens ne votent sur la législation, rapporte le journal britannique. Il n’y a toujours pas de gagnant clair, bien que certains législateurs s’attendent à une décision finale à ce sujet plus tard ce mois-ci.
Vestager a récemment de nouveau exhorté les députés européens à accélérer l’adoption de la législation. « J’espère que vous ressentez la même urgence que moi. Elle a également évoqué « un réveil sans fonction de répétition ».
La France et l’Allemagne plutôt avec leurs propres règles
Certains États membres de l’UE ont exprimé leur inquiétude face à la flânerie du parlement. Les membres du Parlement européen sont invités à « aller de l’avant rapidement » sur l’introduction de la législation. Bruxelles a publié les projets de propositions en décembre.
La France et l’Allemagne, quant à elles, travaillent sur leurs propres programmes législatifs pour freiner les Big Tech. Ce faisant, ils sapent la poursuite par Bruxelles d’une réglementation unique à l’échelle du bloc, car ils essaient de réguler les Big Tech avant Bruxelles.