Une grande partie du réseau autoroutier français est constituée de routes à péage. Environ 2 000 kilomètres sont gérés par le gouvernement, mais la majorité (9 000 kilomètres) appartient à des entreprises privées depuis 2006. Les augmentations de prix – chaque année en février – dépendent des travaux autoroutiers et de l’inflation.
L’inflation a également fortement augmenté en France. En novembre, il était de 6,33 %, de sorte que les entreprises pensent qu’elles sont dans leur droit. En France, cependant, il y a beaucoup de réactions à ce sujet, en raison des bénéfices élevés que réalisent des entreprises impliquées telles que Vinci et Sanef. Et aussi parce que les taux ont augmenté pendant trois années consécutives.
Les sociétés qui exploitent les autoroutes affichent également une rentabilité de 12 %, alors que celle-ci ne peut légalement dépasser 7,67 %.
Selon le site belge Gocar.be, Vinci Autoroutes (Cofiroute, Escota, ASF) annonce une hausse de 4,68%, tout comme APRR et AREA. Sanef a fait état d’une augmentation de 4,54 %. Seuls les propriétaires de voitures électriques bénéficient d’une réduction de 5 % toute l’année.
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