Le rêve olympique de Seb Wals

Par Marcel van Stigt

La réalisation la plus récente du prodige de la course à pied de Landsmeer, âgé de vingt ans, est une impressionnante deuxième place sur le circuit national de cross. Cinq courses à travers forêts ou sur terrain sablonneux. Une réussite majeure, surtout compte tenu du nombre important de participants. Moins récent est le Dam tot Damloop auquel il a participé. Pas individuellement, mais avec le Business Run. L'équipe du magasin de sport où il travaille – Run2Day – est arrivée première, et Seb a franchi la ligne d'arrivée en deuxième position de ce groupe. Et maintenant, il se prépare pour les Championnats nationaux seniors en salle le week-end prochain à Apeldoorn.

Barrage Louis

C'est ainsi que Seb Wals fait avancer les choses. Mais il le fait quand même, car il s’entraîne huit à neuf fois par semaine. Entraînement de force à la Lycurgus Athletics Association à Assendelft, parcours du Landsmeerderveld ou Het Twiske dans son propre environnement de vie et entraînement à la course à pied à la Zaanland Athletics Association. Ici, il est guidé par Louis Dam – « C'est une légende locale » – et il lui a concocté un programme d'entraînement axé sur les distances moyennes, car c'est là que réside la priorité de Seb. Couche par couche, ils créent ensemble des performances encore meilleures.

Deux secondes

«Cela peut être encore mieux», estime Seb Wals. « Cela peut être encore plus rapide, je peux devenir encore plus fort et ma forme physique peut être encore meilleure. Je suis proche du niveau nécessaire pour monter sur le podium lors des compétitions nationales. Mon ambition est de remporter les premiers prix, c'est pour cela que vous le faites. Les possibilités sont là. Comme prochaine étape, je souhaite participer à des compétitions internationales. Pour ce faire, il faut atteindre une certaine limite et j’en suis à deux secondes. Cela semble très peu, mais ce n’est pas le cas.

Famille sportive

Seb Wals est issu d'une famille sportive et a grandi en faisant du sport. À l'âge de six ans, il participait déjà au Twiskemolenloop de la Waterland Athletics Association. Il a toujours continué avec ça. Qu’est-ce qui l’attire autant dans la course à pied ? «C'est difficile à comprendre. C’est la dopamine qui est libérée, l’hormone du bonheur. Nous appelons également cela l’euphorie du coureur. À un moment donné, vous marchez automatiquement.

Médecine

Le Landsmeerder vit pour le sport. En plus de s'entraîner, il mange sainement – ​​« Ma mère est une très bonne cuisinière » – et il évite de sortir. Parfois, lorsqu'aucun match n'est prévu, il sort avec des amis, mais le plus souvent il leur souhaite une agréable soirée et reste à la maison. C'est mieux que de devoir aller au Spa Rood. En plus de son travail dans un magasin de sport, il étudie la médecine au VU Amsterdam car il souhaite devenir entraîneur sportif. Et entre-temps, il nourrit un rêve olympique. « Ne jamais dire jamais ». Paris, cette année, arrive trop tôt. Mais dans quatre ans, Los Angeles, c'est vers cela que je travaille.»

Perrine Lane

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