Un Français perd une partie de son crâne à cause de brutalités policières lors d'émeutes en France

Coma

Le Français de 22 ans a été admis en réanimation et est resté dans le coma jusqu'au lendemain. « Les médecins ont dû retirer une partie de mon crâne pour permettre à ma tête de 'respirer' »dit Hédi.  » Depuis, j'ai subi deux autres opérations et je suis toujours opéré de l'œil. Reste à voir s'ils pourront remettre en place cette partie de mon crâne. Elle est encore trop enflée. « 

Les dégâts sur son crâne sont clairement visibles. Hedi ne peut pas gérer elle-même cette vue. « À l'hôpital, je me suis regardé une fois dans le miroir. Je voulais voir à quoi ça ressemblait. C'était trop pour moi. Maintenant, les points de suture ne sont plus en place, mais il y avait 65 points de suture métalliques dans ma tête. J'ai vu que mon ma tête était enflée, mon crâne n'était plus rond. Je ne pouvais pas le supporter.

Discussion qui s'enflamme

Quatre policiers ont été arrêtés parce qu'ils étaient soupçonnés d'avoir tiré sur une personne à bout portant avec un « flashball ». L'un d'eux est désormais en détention, au grand désarroi des policiers du reste du pays. Surtout à Marseille, mais aussi dans d'autres endroits du pays, des policiers se sont déclarés malades en guise de protestation contre la détention provisoire.

Le plus haut patron de la police nationale, Frédéric Veaux, est également en désaccord avec la détention provisoire. Dans un entretien il a donc pris la défense de l'officier en question. « Un policier n'a pas sa place en prison avant un procès, même s'il a commis de graves erreurs dans son travail. » Le président Macron a répondu à cette déclaration. « Personne n'est au-dessus des lois », le président a dit.

Marceline Desjardins

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